Only The River Flows Explication Fin. Only the River Flows Review An Enigma Wrapped in Film Noir Gazettely Chouchou du Festival de Cannes, Shujun Wei impressionne encore une fois avec Only the River Flows, faux thriller et véritable gouffre d'abstraction, brûlot politique conjugué avec un hommage au Cinéma Ma Zhe, le chef de la police, trouve rapidement le suspect parfait avant d'être assailli par le doute - et si l'assassin n'était pas celui que tout accuse ? L'enquêteur s'enfonce alors dans une spirale paranoïaque et délirante
Only the River Flows (2024) Movie Ending Explained What Turmoil does Ma Zhe Go Through to Catch from www.highonfilms.com
Chine, années 1990 : un introuvable serial killer sème la panique dans la petite ville défavorisée de Banpo Only the River Flows is a gritty police-procedural gone wrong, with the look of bygone era cinema, shot on film with soft edges and noticeable film grains.
Only the River Flows (2024) Movie Ending Explained What Turmoil does Ma Zhe Go Through to Catch
Chine, années 1990 : un introuvable serial killer sème la panique dans la petite ville défavorisée de Banpo the latest film by Shujun Wei,which opened in the Un Certain Regard section of the Cannes Film Festival. Sont-ce les cauchemars du flic ou sa paranoïa qui s'invitent dans le récit faussement calme, comme le courant du fleuve ? A la fin, un mystère demeure et, avec lui, l'impression d'une contrée gouvernée par des intérêts obscurs qui écrasent l'individu
Only the River Flows (2023) Posters — The Movie Database (TMDB). Even though director Wei Shujun 's Chinese neo-noir crime thriller Only the River Flows is adapted from writer Yu Hua 's novella, Mistakes by the River, genre fans can't help but notice the myriad similarities the movie shares with Bong Joon-ho 's masterpiece, Memories of Murder—be it through its narrative and visual composition, moody and atmospheric small town aesthetics, or its. « Only The River Flows » : derrière l'enquête policière, un questionnement existentiel Le troisième long-métrage de Shujun Wei décrit un monde relégué aux marges par une économie.
Only the River Flows (2023). Chouchou du Festival de Cannes, Shujun Wei impressionne encore une fois avec Only the River Flows, faux thriller et véritable gouffre d'abstraction, brûlot politique conjugué avec un hommage au Cinéma Ma Zhe, le chef de la police, trouve rapidement le suspect parfait avant d'être assailli par le doute - et si l'assassin n'était pas celui que tout accuse ? L'enquêteur s'enfonce alors dans une spirale paranoïaque et délirante